• Parution le 8 octobre 2025
  • 240 pages
  • 2.10€

Du bleu sur les veines

Par Tony O’Neill
Traduction de l'anglais par Annie-France Mistral
  • Parution le 8 octobre 2025
  • 240 pages
  • 2.10€

Roman autobiographique, Du bleu sur les veines nous plonge dans la descente rock et opiacée de Tony O’Neill, musicien de Los Angeles et Hollywood. Alors qu’il joue dans des groupes à succès, son addiction aux drogues douces puis dures le coupe de sa passion, de ses amis, et du monde réel. Ne restent que les anges déchus de L.A. qu’il fréquente,  qui vivent comme lui une « vie en combustion », prêts à tout pour planer. Jusqu’à s’écraser.

Du bleu sur les veines  est une confession hors norme, un auto-portrait d’une honnêteté féroce au plus près de l’addiction, une plongée dans les bas-fonds de la Californie au rythme d’une bande-son hommage au plus grand rock.

Publié avec succès par les formidables éditions 13e Note, épuisé depuis plus de dix ans en France, il est aujourd’hui réédité.

« Je suis au-delà de la vie et de la mort, au-delà de l’ennui et de la folie. Si ça s’arrête un jour, si je m’en tire, j’écrirai. Je dois me souvenir de tout. Je ne veux pas avoir vécu ces années pour rien. »

Tony O’Neill

Ils ont aimé

  • Tony O’Neill : rock’n’roll poet.

    The Guardian
  • Tony O’Neill écrit les doigts dans une prise électrique et les pieds dans une mare de sang.

    Jerry Stahl, auteur de Nein nein nein !
  • D’une justesse sans pareille sur les paumés de LA.

    Barry Gifford, écrivain et scénariste de Sailor et Lula et Lost Highway
  • Le meilleur écrivain des bas-fonds d’Hollywood.

    Dan Fante, auteur de Rien dans les poches

À propos de l'auteur

TONY O’NEILL est né en 1978 en Angleterre. A 18 ans, jeune claviériste, il rejoint à Londres le groupe Soft Cell (du hit « Tainted Love ») fondé par Marc Almond, puis les groupes Kenickie et Brian Jonestown Massacre, qui l’emmènent dans des tournées mondiales. Il s’installe à Los Angeles et tombe très vite dans l’addiction, qui lui font frôler l’overdose plusieurs fois. Après des cures de désintox plus ou moins concluantes, il retourne en Angleterre dans un ultime sursaut, où il rencontre sa future femme. En 2006, clean depuis peu, jeune père, il écrit Diggin the vein / Du bleu sur les veines, qui parait en Angleterre et aux US, et en France aux éditions 13E Note. Cette embardée rock et sans fard rencontre un grand succès. Tony O’Neill aura ainsi rejoint un nouveau groupe, cette fois littéraire : les écrivains « néo/off Beat », incarnés par Dan Fante et Mark SaFranko, salués par la presse et les lecteurs du monde entier.