• Parution le 21 août 2024
  • 240 pages
  • 22€

Amours manquées

Par Susie Boyt
Traduction de l'anglais par Stéphane Vanderhaeghe
  • Parution le 21 août 2024
  • 240 pages
  • 22€

PREMIÈRE SÉLECTION PRIX FEMINA ÉTRANGER

SÉLECTION GRAND PRIX DES LECTRICES DE ELLE

PALMARES LIVRES HEBDO ROMAN ETRANGER 2024

SÉLECTION PRIX DU MEILLEUR LIVRE ÉTRANGER

Ruth, professeure à Londres, n’a presque plus de contact avec sa fille Eleanor, toxicomane. Lorsqu’Eleanor a un bébé, Lily, Ruth n’écoute que son instinct : elle revoit sa fille, mais garde l’enfant avec elle pour tenter de la protéger. Une bouleversante relation s’installe entre la grand-mère et sa petite-fille, nimbée de tendresse mais aussi de non-dits. Au fil des ans, ces vies minuscules vont se lier et se délier.

Avec une grande finesse psychologique, dans la veine de Claire Keegan, Amours manquées révèle la beauté délicate des liens familiaux et les amours empêchées par les affres de la vie.

« On ne pouvait pas sombrer à deux. À trois. »

Susie Boyt

Ils ont aimé

  • C’est d’une drôlerie, d’une intelligence sur la famille, sur ce que c’est qu'aimer un enfant... C’est à tomber par terre de beauté.

    Le Masque et la Plume
  • Un mélange d’émerveillement face à la splendeur de ce livre, et de reconnaissance à l’égard de l’autrice pour la puissance des émotions qu’elle y fait circuler. Un savoir-faire littéraire et d’une connaissance du cœur humain admirables.
    D’une délicatesse remarquable, Amours manquées est un roman de la perte et du chagrin qui fait droit à la dignité et à la beauté de ses personnages, et ménage une place à la lumière.

    Le Monde - portrait
  • Dans ce splendide roman britannique, les femmes sont plus présentes que les hommes. Mais les mères, même quand elles sont là, ne donnent pas toujours le meilleur d’elles-mêmes à leur fille. Ce roman est son septième et le premier traduit en français. Boyt aime ses personnages et ne les juge pas, un talent qu’on ne peut s’empêcher de rapprocher du fait que Susie Boyt est l’arrière-petite-fille de Sigmund Freud (et la fille du peintre Lucian Freud). Dans des pages magnifiques, elle regarde la mort en face. Rien n’est appuyé dans Amours manquées, rien n’est violent, la colère n’éclate pas, personne ne crie alors que les personnages souffrent.

    Libération
  • Susie Boyt offre une oeuvre d'une infinie délicatesse sur les liens filiaux, amicaux, la vie qui file, les petits riens qui font tout et les non-dits qui disent tout. Cette oeuvre est une splendeur dans laquelle on se replonge volontiers pour tenter de comprendre l'indicible de l'amour, de la perte. Les réponses en forme de coeur se dessinent dans ces pages merveilleuses.

    Le Pélerin, 3 PPP
  • Susie Boyt explore les malaises et les moments heureux avec une acuité rare.

    Le Soir
  • Le roman bouleversant d’une grand-mère et d’une petite-fille. Après avoir été ému, remué, on referme le livre fort de ce que ces deux-là auront bâti ensemble.

    La Tribune, Arnaud Cathrine
  • Susie Boyt nous donne à lire la valse-hésitation poignante de trois générations, en tenaille dans un amour qui ne va pas de soi. La littérature ne nous offre guère de liens grand-mère-petite-fille, à plus forte raison si gorgés de nuances.

    Focus Vif
  • Aussi délicat et sensible que sa couverture, ce livre est une vraie œuvre d’art.

    A voir à lire
  • Aussi joyeux que bouleversant, aussi enchanté que terriblement réaliste.

    New Yorker
  • Une beauté pure et désarmante.

    The Atlantic
  • Remarquable.

    Wall Street Journal
  • Un classique contemporain.

    Los Angeles Review of Books
  • Notre roman préféré de l’année.

    Vogue
  • Une autrice importante, d’une prose incroyable.

    Spectator
  • Un roman bouleversant et lumineux sur les sentiments complexes d’une famille.

    Irish Independent

À propos de l'auteur

SUSIE BOYT, fille de Lucian Freud et arrière-petite-fille de Sigmund Freud, n’est ni peintre ni psychanalyste. Elle dirige le Hampstead Theatre de Londres. Son roman Amours manquées, acclamé en Angleterre et aux États-Unis, a été classé dans les meilleurs romans 2023 du New Yorker. Il est en cours de traduction dans plusieurs pays.